J'ai une dictée a faire sur la lettre de lilie de la vie tranché mais je trouve que ça. En vrai sa ce termine pas a bande de f..! Ma Lilie chérie, Je t'écris p
Français
lalinebaillif
Question
J'ai une dictée a faire sur la lettre de lilie de "la vie tranché" mais je trouve que ça. En vrai sa ce termine pas a bande de f..!""
Ma Lilie chérie,
Je t'écris presque tous les jours et toujours pas de nouvelles de toi. Or, voici la dixième lettre que je t'envoie. Mes lettres sont confisquées. Bande de f... !"
Pour mieux restituer la misère des soldats et l'horreur des tranchées lors de la Grande Guerre, Bénédicte des Mazery, citant des lettres réelles des poilus comme celle-ci écrite par un certain Jo, imagine l'histoire de Louis Saint-Gervais, un soldat réformé pour blessure et affecté au service du contrôle postal. Le jeune homme va lire et devoir censurer toutes les lettres qui expriment la souffrance et la détresse des camarades restés au front. Mais peut-on rester indifférent à ces cris de désespoir qui sont des appels au secours?
Ma Lilie chérie,
Je t'écris presque tous les jours et toujours pas de nouvelles de toi. Or, voici la dixième lettre que je t'envoie. Mes lettres sont confisquées. Bande de f... !"
Pour mieux restituer la misère des soldats et l'horreur des tranchées lors de la Grande Guerre, Bénédicte des Mazery, citant des lettres réelles des poilus comme celle-ci écrite par un certain Jo, imagine l'histoire de Louis Saint-Gervais, un soldat réformé pour blessure et affecté au service du contrôle postal. Le jeune homme va lire et devoir censurer toutes les lettres qui expriment la souffrance et la détresse des camarades restés au front. Mais peut-on rester indifférent à ces cris de désespoir qui sont des appels au secours?
1 Réponse
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1. Réponse millotte
Ma Lili chérie,Pour nous, pauvres innocents guerriers, la vie EST bien peu de choses. Nous vivons au jour le jour. A l'instant bien portants et, peut-être, dans quelques minutes... morts ! Hachette, 2009, 283 p. (Bibliocollège)Hôpital militaire d'Amiens, août 1917.En convalescence pour avoir perdu deux orteils dans le froid des tranchées, Louis Saint-Gervaisreçoit une lettre officielle le déclarant "inapte au service armé". Il est affecté à la commission decontrôle postal en tant que lecteur. Son rôle consiste à lire les centaines de lettres que les soldats du front envoient à leur famille afin decensurer les "indésirables" qui donnent trop de précisions rapport aux affrontements ou qui véhiculent un état d'esprit négatif : "indication précise de lieux", "pacifisme", "fraternisation avec l'ennemi", "défaitisme" sont les principaux motifs de non acheminement des courriers. Rien ne doit décourager les Français à CONTINUER le combat ! Mais plus les mois passent, plus Louis peine à rester indifférent face à la souffrance et la détresse des soldats. Il n'en peut plus d'étouffer la réalité des tranchées, et surtout de priver des hommes en plein désarroi de leur seul réconfort : recevoir quelques mots de leurs proches pour tenir ENCORE. Le voilà tenté de passer outre les consignes...